Au bord du gouffre
Arracher ses ailes à la mort
Et cracher par terre
Le vent sur ma peau
Ma peau frisson soupire vague
Le vent me rappelle à la terre
Et ses rêves d'enfants
Et ton sourire me nargue
Moquerie piquante
Attirante
Et tes yeux portent en eux
Des promesses que je n'ai pas tenu
Un chemin clair et fier
Pour traverser le gouffre
Tête haute
Textes selon l'inspiration ou ce que j'ai en réserve. Textes d'hier ou d'aujourd'hui. Si d'aventure ces mots vous touchent, bon temps, mauvais temps, n'hésitez pas à faire quelques pas avec moi sur ce chemin et à laisser un commentaire. Ne sachant pas où il mène, avis et discussions sont les bienvenus.
J'ai retrouvé le chemin des mots
Et plongé dans la mer
J'ai joué dans l'écume douce-amer
Qui sert le cœur tendrement
Aux sons de la mélancolie
Au rythme des complaintes
J'ai souri
vendredi 30 octobre 2015
La tâche aveugle
Pourquoi enfin crois-tu
L'herbe seulement pour se reposer
Les oiseaux pour chanter
Et le soleil à midi
Tandis que tu joues à gober les mouches
C'est une chaleur trompeuse
Un artifice doucereux
Qui te dévore de l'intérieur
La tâche aveugle te ronge
Te crispe et t'empêtre
Monstre informe nuage puant
Pour étouffer tes changements
L'herbe seulement pour se reposer
Les oiseaux pour chanter
Et le soleil à midi
Tandis que tu joues à gober les mouches
C'est une chaleur trompeuse
Un artifice doucereux
Qui te dévore de l'intérieur
La tâche aveugle te ronge
Te crispe et t'empêtre
Monstre informe nuage puant
Pour étouffer tes changements
La crise
C'est la plainte du soir
Déchirure dans le noir
Dans l'obscurité la journée
Est trop éclatante brutale et mauvaise
Pour l'ignorer
Chaque souvenir agresse
S'entasse sans pitié
Et les poumons sont lourds
Les épaules ploient
Le coeur tremble
Chaque atome frémit avant la tempête
Les tripes crispées
Foudre lucide et cri de tonnerre
La conscience déchiré
Trop d'arbres trop de conséquences
Trop de temps amoncelé
Nuages insatisfaits
Les images et les sens
Vérités et tourments
Tournoient comme des corbeaux criards
Les mots on volé en éclats
La conscience sans abris
Se cambre sous les électrochocs
Et hurle la bête touchée à vif
Quatre bourreaux altruistes
Laissent une carcasse chancelante
Épuisée
S'endormir enfin
Déchirure dans le noir
Dans l'obscurité la journée
Est trop éclatante brutale et mauvaise
Pour l'ignorer
Chaque souvenir agresse
S'entasse sans pitié
Et les poumons sont lourds
Les épaules ploient
Le coeur tremble
Chaque atome frémit avant la tempête
Les tripes crispées
Foudre lucide et cri de tonnerre
La conscience déchiré
Trop d'arbres trop de conséquences
Trop de temps amoncelé
Nuages insatisfaits
Les images et les sens
Vérités et tourments
Tournoient comme des corbeaux criards
Les mots on volé en éclats
La conscience sans abris
Se cambre sous les électrochocs
Et hurle la bête touchée à vif
Quatre bourreaux altruistes
Laissent une carcasse chancelante
Épuisée
S'endormir enfin
La chambre noire
Dehors crie-t-il
Va-t-en sors de là
Mais casse-toi !
C'est une supplique douloureuse
Où trône le désespoir
Ouvre la porte de la chambre noire
Là dans l'ombre poisseuse
Au cœur au creux
Là où ça tire sur les tripes
Un tas d'ombre inquiet et grimaçant
Une deux trois trop de chaînes
Rouillées et cruelles
Pas d'odeurs pas de bruits
Juste une souillure totale
Un rejet de honte verdâtre
Sors de là
Briser forcer crocheter les menottes
Une à une la liberté malgré lui
La porte ouverte enfin
Vois dehors le soleil : va !
S'il-te-plaît va et sors de là
Assez de ce temple malsain
De ce croupissement mollasson
Dehors le temps le vent et la pluie
Promesse de jours vivants
Pas à pas marche longtemps
Et derrière soi refermer la porte
Dans la chambre noire s'entassent les regrets
Les murs suintent et la lumière jure
Il faudra bien un jour y retourner
Et tout ravaler
Dans la chambre noire mourront les regrets
Sans tombe ni sermons
Va-t-en sors de là
Mais casse-toi !
C'est une supplique douloureuse
Où trône le désespoir
Ouvre la porte de la chambre noire
Là dans l'ombre poisseuse
Au cœur au creux
Là où ça tire sur les tripes
Un tas d'ombre inquiet et grimaçant
Une deux trois trop de chaînes
Rouillées et cruelles
Pas d'odeurs pas de bruits
Juste une souillure totale
Un rejet de honte verdâtre
Sors de là
Briser forcer crocheter les menottes
Une à une la liberté malgré lui
La porte ouverte enfin
Vois dehors le soleil : va !
S'il-te-plaît va et sors de là
Assez de ce temple malsain
De ce croupissement mollasson
Dehors le temps le vent et la pluie
Promesse de jours vivants
Pas à pas marche longtemps
Et derrière soi refermer la porte
Dans la chambre noire s'entassent les regrets
Les murs suintent et la lumière jure
Il faudra bien un jour y retourner
Et tout ravaler
Dans la chambre noire mourront les regrets
Sans tombe ni sermons
La folie la mer
J'ai côtoyé la folie
Comme une eau douce
Je l'ai aimé même
Admiré désiré espéré
Je m'en suis fait un étendard
Sous lequel je jouais du clairon
Faux
Un lac une mère un océan
Trouvé l'erreur
La folie comme une eau douce
Et son sommeil m'inquiète
Tomber par malheur
Sauter par lâcheté
Plonger courageusement
Ou cracher de mépris
Dans mon ventre une boule contraire
Une bouée malgré moi
Qui m'empêche de respirer
Ou de me noyer
La folie à mes pieds
Parois ma hurlé dessus
Et griffé jusqu'aux os
La garce que j'ai tant aimée
Sans jamais la rejoindre
La folie en tableau je l'ai vue vraie
Autre si belle immense terrible
Magnifique
Un directe une flèche un gong
Oh ! L'envie de me mouiller
Plonger tomber sauter
Saurai-je seulement nager
Alors planté sur le rivage
J'en tape un autre portrait
Comme ça à coup de mots
Loin de moi et vissée aux tripes
Dans le dos les ailes la mort et le vide
Et le lointain rêve délire étouffant
De marcher sur l'eau
En rire enfin pleurer parfois
Les larmes de l'eau mais pas la mer
Toujours semblant
Que ces quelques pages sont un bateau
Les pieds pendant au bout du pont
Je veux apprendre à nager
Courir dans les vagues peut être
Je tangue avec la marée
Mes tripes sont des lunes cruelles
Qui me font danser avec l'écume
Loin de la mer
Comme une eau douce
Je l'ai aimé même
Admiré désiré espéré
Je m'en suis fait un étendard
Sous lequel je jouais du clairon
Faux
Un lac une mère un océan
Trouvé l'erreur
La folie comme une eau douce
Et son sommeil m'inquiète
Tomber par malheur
Sauter par lâcheté
Plonger courageusement
Ou cracher de mépris
Dans mon ventre une boule contraire
Une bouée malgré moi
Qui m'empêche de respirer
Ou de me noyer
La folie à mes pieds
Parois ma hurlé dessus
Et griffé jusqu'aux os
La garce que j'ai tant aimée
Sans jamais la rejoindre
La folie en tableau je l'ai vue vraie
Autre si belle immense terrible
Magnifique
Un directe une flèche un gong
Oh ! L'envie de me mouiller
Plonger tomber sauter
Saurai-je seulement nager
Alors planté sur le rivage
J'en tape un autre portrait
Comme ça à coup de mots
Loin de moi et vissée aux tripes
Dans le dos les ailes la mort et le vide
Et le lointain rêve délire étouffant
De marcher sur l'eau
En rire enfin pleurer parfois
Les larmes de l'eau mais pas la mer
Toujours semblant
Que ces quelques pages sont un bateau
Les pieds pendant au bout du pont
Je veux apprendre à nager
Courir dans les vagues peut être
Je tangue avec la marée
Mes tripes sont des lunes cruelles
Qui me font danser avec l'écume
Loin de la mer
Les échasses
Des hauts et des bas
Des pas et des mots
Des montagnes sans nom
Plates
C'est mon moi qui s'imagine
Et trahit mon moi
Il se gonfle et se méprise
Cherche ses dimensions
Il a honte de ma couardise
Et pleure mes exploits
Fruits d'un hasard mal maîtrisé
Je suis un agencement désarçonné
Une pile d'atome incongrue
Deux yeux une tête
Pas convaincus
Pas rassurés
Sur des échasses verbeuses
Dont j'aimerai être sûr
Qu'elles touchent le fond
Des pas et des mots
Des montagnes sans nom
Plates
C'est mon moi qui s'imagine
Et trahit mon moi
Il se gonfle et se méprise
Cherche ses dimensions
Il a honte de ma couardise
Et pleure mes exploits
Fruits d'un hasard mal maîtrisé
Je suis un agencement désarçonné
Une pile d'atome incongrue
Deux yeux une tête
Pas convaincus
Pas rassurés
Sur des échasses verbeuses
Dont j'aimerai être sûr
Qu'elles touchent le fond
Le trou
Les mots couvrent
Les mots cachent
Les mots
Sont de mauvaises farces
Blabla trop présent
Qui délaye l'expérience
J'ai voulu me promener
Au bord de l'abîme
Essayé de creuser une tombe
Sans conviction
Toujours des mots entre mes yeux et le sol
Toujours des lettres folles
Bourdonnent à mes oreilles
Des mots trop courts
Pour un monde si vaste
Des tricheries rampantes vois-tu
Un mauvaise blague
B-A-ba un pied en dehors
Et déjà la nature l'expérience
Nous est étrangère
Le pied sectionné rigole nerveusement
Ça le chatouille
Et moi dehors au bord du trou
Est-ce une tombe
Gouffre réponse sortie
La vie par là s'enfuie
L'inconnu noir m'aveugle
Et je chante comme un sourd
Pour noyer mon chagrin
Dis-je
Des mots, riens que des mots
Nerveux
Des tas de lettres sur mon angoisse
Sont mon angoisse
Et quand je lève les yeux vers la lumière
Une beauté de passage et toutes ses couleurs
Mon cœur se serre sur des mots
Qu'il ne connaît pas
Je sens alors je touche
Avec des pouces gros comme le monde
Un univers digital et premier
Un aperçu minuscule de l'infini
Là à portée d'atome
Et déjà le cri désespéré
Creusé de honte
De mes neurones prétentieux
Ah les mots sont vides
Et de bien vaines parures
Comme des feuilles voulant dessiner l'arbre
Avec toutes leurs sœurs
Au pied de l'arbre il y a un trou
Et je danse autour
Il y a un trou il y a un trou il y a un trou
Il n'est ni noir ni présent
C'est une tâche aveugle
Qui fait fuir même les mots
Et moi et mes ailes lettrées
Mes béquilles de palabres
Au bord de ce trou
Je me sens con
Pour ne pas hurler de peur
Ou voler en éclat
Une lettre après l'autre
Les mots cachent
Les mots
Sont de mauvaises farces
Blabla trop présent
Qui délaye l'expérience
J'ai voulu me promener
Au bord de l'abîme
Essayé de creuser une tombe
Sans conviction
Toujours des mots entre mes yeux et le sol
Toujours des lettres folles
Bourdonnent à mes oreilles
Des mots trop courts
Pour un monde si vaste
Des tricheries rampantes vois-tu
Un mauvaise blague
B-A-ba un pied en dehors
Et déjà la nature l'expérience
Nous est étrangère
Le pied sectionné rigole nerveusement
Ça le chatouille
Et moi dehors au bord du trou
Est-ce une tombe
Gouffre réponse sortie
La vie par là s'enfuie
L'inconnu noir m'aveugle
Et je chante comme un sourd
Pour noyer mon chagrin
Dis-je
Des mots, riens que des mots
Nerveux
Des tas de lettres sur mon angoisse
Sont mon angoisse
Et quand je lève les yeux vers la lumière
Une beauté de passage et toutes ses couleurs
Mon cœur se serre sur des mots
Qu'il ne connaît pas
Je sens alors je touche
Avec des pouces gros comme le monde
Un univers digital et premier
Un aperçu minuscule de l'infini
Là à portée d'atome
Et déjà le cri désespéré
Creusé de honte
De mes neurones prétentieux
Ah les mots sont vides
Et de bien vaines parures
Comme des feuilles voulant dessiner l'arbre
Avec toutes leurs sœurs
Au pied de l'arbre il y a un trou
Et je danse autour
Il y a un trou il y a un trou il y a un trou
Il n'est ni noir ni présent
C'est une tâche aveugle
Qui fait fuir même les mots
Et moi et mes ailes lettrées
Mes béquilles de palabres
Au bord de ce trou
Je me sens con
Pour ne pas hurler de peur
Ou voler en éclat
Une lettre après l'autre
Nécrose
J'ai rêvé d'empires de poussière
Et de leurs faunes merveilleuses
Bêtes magnifiques au rire cruel
Il y a là dehors des temples engloutis
Où rugissent encore des prières fantômes
Ce ne sont que des âmes odieuses
Pleurant des utopies atrophiées
Qui sombrent dans le gouffre de nos chagrins
Vois les cendres sur l'autel du héros
Et la foule maussade marmonnant des cantiques
La mort règne et flétri nos désirs
Et les amants s'endorment sur leurs promesses
J'ai rêvé d'un temps boueux et acariâtres
De blattes géantes craquant sous les bottes
Un monde agonisant vautré dans ses regrets
Loin de l'éclat cruel de l'espoir
Oiseau décrépit brûlé par le soleil
Et de leurs faunes merveilleuses
Bêtes magnifiques au rire cruel
Il y a là dehors des temples engloutis
Où rugissent encore des prières fantômes
Ce ne sont que des âmes odieuses
Pleurant des utopies atrophiées
Qui sombrent dans le gouffre de nos chagrins
Vois les cendres sur l'autel du héros
Et la foule maussade marmonnant des cantiques
La mort règne et flétri nos désirs
Et les amants s'endorment sur leurs promesses
J'ai rêvé d'un temps boueux et acariâtres
De blattes géantes craquant sous les bottes
Un monde agonisant vautré dans ses regrets
Loin de l'éclat cruel de l'espoir
Oiseau décrépit brûlé par le soleil
Négatif
Je me mange et me vomit
A ma propre table
Ma honte et mon orgueil
S'aiment et se déchirent
Avec dans l’œil
Ma tristesse et mon mépris
Comme un serpent glouton
Un cercle clôt
Et pas même une mauvaise spirale
Pas même une chute
A ma propre table
Ma honte et mon orgueil
S'aiment et se déchirent
Avec dans l’œil
Ma tristesse et mon mépris
Comme un serpent glouton
Un cercle clôt
Et pas même une mauvaise spirale
Pas même une chute
L'introspection
Rodéo sauvage
Que l'introspection
Les mots sont lâchés
Et la raison bât de l'aile
Prise de tête
A deux mains
Pour ne pas l'encastrer dans le mur
Pour ne pas s'éclater tout en bas
Corrida cruelle
Que l'introspection
A coup de piques amères
On achève sa fierté
Qui rue faiblement
Vidée de ses larmes
Et au matin, quoi ?
La foule n'était pas là
Le torero seul
Peut profiter du soleil
Vainqueur vaincu et vain
Que l'introspection
Les mots sont lâchés
Et la raison bât de l'aile
Prise de tête
A deux mains
Pour ne pas l'encastrer dans le mur
Pour ne pas s'éclater tout en bas
Corrida cruelle
Que l'introspection
A coup de piques amères
On achève sa fierté
Qui rue faiblement
Vidée de ses larmes
Et au matin, quoi ?
La foule n'était pas là
Le torero seul
Peut profiter du soleil
Vainqueur vaincu et vain
dimanche 4 octobre 2015
C'est la faute
C'est la faute à
Voltaire
M'a dit le camembert
Mais je ne crois pas
vraiment
Les fromages
coulants
Alors je cours voir
mes deux yeux
Hélas les nouvelles
ne sont plus très fraîches
Les journaux
putréfiés
Noient leurs odeurs
sous les poissons
Nauséabonds
Ce n'est donc pas la
faute à Voltaire
Le camembert devrait
se taire
Et j'enterre mes
espoirs fous
D'être innocent
Epinglés
Un jour je verrai
Tout mes démons
épinglés
Mes rancœurs
oubliées
Et mes regrets
égarés
Je les imagine déjà
Immobiles et secs
Derrière des
vitrines froides
Comme de mauvais
papillons
Comme je
m'empresserai alors
Le sourire en coin,
peut être
Des les rendre à la
poussière
Longtemps, s'il vous
plaît, avant moi
Même quand tu ne reviens pas
Chaque sentiment que j'expire me ramène vers
toi même ceux qui ne te regarde pas et pourtant eux te regardent
avec envie. Sang bleu, sang blanc, mauvais temps. Je veux t'offrir
chacune de ces fleures née dans mon cœur qui bat d'étranges
rythmes et sonne creux pourtant je pense tout bas je pense à toi
même si je ne devrait pas. Souffle rouge, l'espoir noir a bon temps
bon an. Au dessus de ma certitude incrédule petite chose dure sûre
qui s'étonne elle-même et pourtant ne peux se passer d'exister,
au-dessus de ma certitude incrédule flotte un ange mal plumé
maladroit, ovni qui pense et mal y soit comme tant d'autres. Pourtant
dans ce silence de tes pas il vole et renforce ma certitude qui ne
devrait pas. Pourtant je pense à toi, hiver du temps le blanc passe
à l'été, pourtant me voilà. Et encore en silence et mon corps en
souffrance bute en boucle en disque rayé encorencorencorencor et
toujours jours qui se lève sur l'écho impossible que j'entends
pourtant à la source même de ton silence. Tes yeux je ne les perds
pas tes yeux peint en jours bleus me disent des choses que je
n'arrive pas à inventer et pourtant ton silence et tes yeux mélangés
me perdent et je bute et me rebute. Ma certitude et ton silence me
renvoie la balle dans la tête folle et drôle elle chante ivre la
tête elle s'en fout elle suit les battement et le souffle cassé.
Sais-tu pourtant le poids certain de ton sourire, la beauté en masse
dans la douceur de tes lèvres le sourire de ton sourire étonné
effrayé et pourtant parti au loin pourtant je ne peux que
l'attendre. Sais-tu pourtant que je t'attends même quand tu ne
reviens pas ?
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