La nuit le silence est creux de ta voix
Et mon souffle solitaire
Et mon lit désert
De ne pas te connaître
La nuit je penche la tête
Vers le creux de ton épaule
Et sur ma nuque l'épiderme se réveille
En imaginant la caresse de tes doigts
Tes mains dans mes cheveux
Le vent calme espère porter le son de
tes pas
Et mon cœur se berce de rêves
Qui finissent dans tes bras
Pourquoi faut-il
Que tu n'existe pas ?
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