La Lorelei aux
yeux blonds cendrés
Perce le temps d'un trait carnassier
Et brûle mes paupières embuées
d'amour
Larmes amères
La Lorelei
voudrait me voir ramper
Me traîner à ses pieds me faire
pardonner
Tout le mal que la terre des hommes
Sans trêve ni vergogne
Fait peser sur ses épaules de marbre
frêle
La Lorelei a ainsi
bien mal dansé
Et rejoint la sarabande des bourreaux
malheureux
Qui empilent sur d'autres tout les
misères
Dont ils ne
veulent plus
La Lorelei seule s'en ira pleurer
Loin de mes bras câlins
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